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Le lien entre l’éducation et l’immigration : situer l’enseignement supérieur canadien en tant qu’institutions de recrutement d’immigrants

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Principales conclusions
Les parcours d’immigration des étudiants étrangers sont conçus pour faciliter l’établissement de jeunes travailleurs hautement qualifiés et formés au Canada. Toutefois, le rôle à long terme des établissements d’enseignement supérieur pour façonner l’immigration canadienne exige une plus grande surveillance.

 
Les changements apportés aux politiques au début des années 2000 et la Stratégie en matière d’éducation internationale adoptée officiellement par le Canada en 2014 ont contribué à l’entrée au pays d’un plus grand nombre d’étudiants étrangers chaque année. Cet article examine les rôles et les responsabilités des établissements d’enseignement supérieur (EES) dans les parcours d’immigration à étapes multiples de leurs étudiants. En 2015-2016, on a observé une augmentation de 14,4 % du nombre d’inscriptions d’étudiants étrangers au Canada. En 2018, les étudiants étrangers représentaient près de 170 000 emplois et 21,6 milliards de dollars du produit intérieur brut (PIB) du pays. Toutefois, le nombre d’admissions d’étudiants étrangers est déterminé par les établissements d’enseignement postsecondaire et est rarement influencé par le secteur de l’enseignement supérieur ou les gouvernements provinciaux et fédéral. Par conséquent, l’objectif réel de la politique d’immigration demeure incertain en ce qui concerne les étudiants étrangers. La situation actuelle suggère que les exigences supplémentaires imposées aux étudiants étrangers demeurent un mécanisme de contrôle dans ce domaine non réglementé et non plafonné instauré par les EES.

Par conséquent, les EES doivent revoir leur rôle dans la réussite des étudiants après l’obtention de leur diplôme. Premièrement, ils doivent accepter que de nombreux étudiants étrangers ont l’intention d’immigrer au Canada. Deuxièmement, dans le cadre de leur soutien aux étudiants, ils doivent s’assurer que ces étudiants très payants connaissent mieux, avant leur arrivée, le processus d’immigration, les finances nécessaires, ainsi que les difficultés et les occasions de résidence permanente. Cela nécessite une modification des mécanismes de soutien aux étudiants étrangers, une approche multipartite qui comprend l’établissement et des services d’emploi tout au long du parcours des étudiants. La redéfinition de ces perspectives alourdit l’imputabilité des EES, du gouvernement et des collectivités afin de jouer un rôle plus essentiel dans le soutien de la réussite des étudiants étrangers au Canada.

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